dimanche 29 avril 2007

Expos au Grand Palais

Dimanche 29 avril
visite des Expos
NOUVEAU REALISME
Galeries nationalesdu Grand Palais
28 mars - 2 juillet 2007
Entrée square Jean Perrin

Cette exposition est organisée par la Réunion des musées nationaux, le Centre Pompidou, Paris et le Sprengel Museum Hannover, Hanovre.Elle sera également présentée au Sprengel Museum Hannover du 9 septembre 2007 au 27 janvier 2008.En partenariat média avec Le Figaro, Le Nouvel Observateur, LCI et France Inter.
Le Nouveau Réalisme s’inscrit, de la fin des années cinquante au milieu des années soixante, dans un mouvement général de renouvellement des langages plastiques et des thèmes (Néo-Dada, Pop Art, Fluxus, groupe Zéro…) face à l’émergence d’une société industrielle et de consommation, en rupture avec l’immédiat après-guerre.Klein, Hains, Villeglé, Tinguely, César, Arman, Spoerri, Raysse, Dufrêne, Rotella, Niki de Saint Phalle, Deschamps, Christo, baptisés de manière volontariste par le critique d’art Pierre Restany « Nouveaux Réalistes * », multiplient manifestations collectives et « actions-spectacles ». Ils intègrent à leurs œuvres des éléments de l’univers quotidien, urbain et industriel : palissades, barils, objets en plastique, détritus, voitures ou sigles de la circulation... Compressions de César, accumulations d’Arman, décollage et lacération d’affiches de Hains et Villeglé, assemblages d’objets courants en plastique de Raysse, tableaux-pièges de Spoerri, sculptures auto-destructives de Tinguely, Tirs de Niki de Saint Phalle… recèlent une véritable radicalité aujourd’hui oubliée.
Mouvement phare de la scène française artistique de l’après-guerre, Le Nouveau Réalisme en tant que mouvement n’a pas fait l’objet d’une grande exposition depuis plus de vingt ans (1960.Les Nouveaux Réalistes, Paris, Musée d’art moderne de la Ville de Paris, 1986). Si nombre d’artistes ont bénéficié depuis les années 80 d’une rétrospective (Martial Raysse, César, Arman, Tinguely, Hains, les affichistes…), leur rattachement à un groupe qui a su être présent et actif sur la scène internationale des années 60 (Etats-Unis, Italie, Allemagne), est aujourd’hui mal connu, souvent minoré et mérite un nouvel éclairage, une nouvelle compréhension. Par ailleurs, alors que les acteurs disparaissent les uns après les autres - Niki de Saint Phalle, César, Hains, Restany, Arman, Rotella… - il est important de saisir les derniers témoignages d’une histoire qui s’éloigne et que, de manière étonnante, se réapproprient de nombreux jeunes artistes de la scène contemporaine.
L’exposition, d’environ 180 numéros, propose de retrouver la vitalité des actions et des œuvres du « nouveau réalisme » grâce à la reconstitution ou la présentation de certains ensembles et la mise en place d’un parcours thématique et historique permettant de saisir les apports et les spécificités de ce mouvement, ainsi que les temps forts de leur histoire commune. Elle se concentre sur une décennie - de 1958 aux années 1965/69 - qui voit la constitution du groupe et l’expression d’actions collectives - période extrêmement dense et vivante, ensuite recouverte par l’affirmation de trajets personnels.
Outre, bien évidemment les œuvres des treize acteurs directement rattachés au mouvement, quelques pièces d’artistes proches et souvent en contact avec ces derniers (les « Objecteurs » réunis par Alain Jouffroy tels que Raynaud, Pommereulle, Dietman, ou encore Malaval, Jacquet, des membres issus de Fluxus comme Filliou ou Vostell, du groupe Zéro tel que Günther Uecker, les Américains néo-dadas, Rauschenberg, Stankiewicz, Johns, Bontecou, Chamberlain…) seront incluses, afin d’évoquer la multiplicité des courants qui ont animé Le Nouveau Réalisme et de ne pas réduire, comme on l’a trop souvent fait, ce mouvement à la déclinaison emblématique et schématique de quelques gestes.
* Klein, Raysse, Arman, Dufrêne, Villeglé, Hains, Spoerri, Tinguely et Restany lui-même signent le 27 octobre 1960, la Déclaration constitutive du Nouveau Réalisme - geste emphatique mis en scène par le critique pour un groupe qui, selon Arman, ne durera que vingt minutes. C’est davantage et de manière plus large une attitude, un mouvement que l’on nommera Nouveau Réalisme, qui relie ces artistes signataires ainsi que les autres, proches, Deschamps, Niki de Saint Phalle, Rotella, Christo.
et
L' ÂGE D' Or de l'Inde Classique
L'empire des GUPTA
Cette exposition est coproduite par la Réunion des musées nationaux, le musée des Arts asiatiques-Guimet et le musée national de New Delhi.Avec le soutien de PricewaterhouseCoopers.En partenariat média avec Le Monde 2, Le Monde.fr, Europe 1, TV5 et aufeminin.com.
L’époque gupta (IVe-VIe siècle après J.-C.) marque l’apogée de la civilisation indienne. Durant cet âge d’or qui vit s’épanouir la pensée religieuse, les sciences, la littérature et le théâtre, l’art atteignit un raffinement et une perfection sans précédent ; canons esthétiques et modèles iconographiques élaborés à l’époque gupta allaient perdurer au fil des siècles et leur l’influence et leur rayonnement s’étendre jusque dans l’art du Népal, de l’Asie du Sud-est ou encore de l’Asie centrale.
Grâce aux prêts exceptionnels des plus grands musées indiens, un ensemble de 110 sculptures (pierre, terre cuite, bronze) évoque la genèse, la maturité et le rayonnement de cet art encore méconnu du public occidental. Cette exposition est la première manifestation exclusivement consacrée à l’art de l’Inde gupta organisée en France, et même en Europe.
À l’instar des souverains de la première grande dynastie historique du sous-continent indien, celle des Maurya (IVe-IIe siècle avant J.-C.), les Gupta sont originaires de l’Inde du Nord. Comme ce fut aussi le cas pour d’autres familles royales de l’histoire indienne dont l’ascendance reste quelque peu obscure, la puissance gupta se constitua progressivement à partir de l’éclatement du grand empire des Kushâna vers la fin du IIIe siècle. Ses territoires s’étendaient sur une partie de l’actuel Etat du Bihâr, avec l’antique cité de Pâtaliputra (actuelle Patnâ) pour capitale. La dynastie fut officiellement fondée en 319-320 par Candragupta Ier, qui monta cette année–là sur le trône d’un petit royaume appelé à connaître une brillante destinée. La puissance militaire et l’habileté politique des deux grands souverains que furent Samudragupta (vers 335-375) et Chandragupta II (vers 375-415) portèrent alors l’empire à son zénith avant que, vers la fin du Ve siècle, sa grandeur ne soit mise à mal par les invasions des Huns Hephtalites, précipitant l’empire dans un irréversible déclin.
Le parcours de l’exposition se veut chronologique et s’efforce de présenter l’art gupta depuis les grands centres de création que furent Mathurâ et Sârnâth jusqu’aux foyers artistiques les plus importants situés à la périphérie de l’empire qui, à son apogée, s’étendait sur l’ensemble de l’Inde septentrionale. Au début de l’exposition, un ensemble de monnaies en or, qui comptent parmi les plus beaux exemples de la numismatique indienne, permettent d’évoquer le règne et la personnalité des plus grands monarques de la dynastie.
Un petit groupe de sculptures vient ensuite illustrer les antécédents stylistiques et iconographiques dont l’art gupta est issu, et qui plongent leurs racines dans l’art robuste et profondément éclectique des Grands Kushâna (Ier – IIIe siècle).
Les grands foyers artistiques que furent au Ve siècle Mathurâ et Sârnâth sont ensuite évoqués à travers un éblouissant ensemble de sculptures – bouddhiques, jaïnes et brahmaniques. Taillées dans le grès rose de Mathurâ ou le grès beige de Sârnâth, ces effigies divines, frémissantes d’intériorité et de spiritualité contenue, empreintes de grâce et d’une élégance hautaine, au modelé à la fois adouci et épuré, constituent la quintessence même du génie artistique gupta et un canon esthétique dont ne cesseront de se réclamer, au fil des siècles, nombre de courants artistiques ultérieurs. Divers éléments de décor architectural permettent en outre d’évoquer le cadre dans lequel ces œuvres d’art sacré prenaient place au sein des sanctuaires hindous et des monastères bouddhiques.
Participant souvent du décor des temples, les terres cuites gupta séduisent par leur fraîcheur et leur verve narrative, servies par une superbe facture. Elles illustrent une veine profane et spontanée, dont le répertoire emprunte aussi bien à la mythologie qu’au théâtre ou aux scènes de la vie quotidienne et offre un séduisant contrepoint au hiératisme et à la grandeur des images de culte.
La dernière partie de l’exposition introduit à l’art de quelques grands sites régionaux – tels Bhumârâ, Deogarh, Nâchnâ Kuthâra et Shâmalâjî – et permet d’appréhender l’esthétique gupta dans toute sa diversité et ses particularismes régionaux aux Ve et VIe siècles.
Galeries nationales du Grand Palais
Entrée porte Clemenceau
Place Clemenceau 75008 Paris
Cliquez ici pour voir la programmation culturelle




Dimanche aprés midi Visite de l'atelier de Gustave Moreau
Gustave Moreau peintre, graveur et dessinateur français, épris de mystique et de symbolisme, né à Paris le 6 avril 1826 et mort dans la même ville le 18 avril 1898.
Élu à l'
Académie des Beaux-Arts en 1888, il est nommé professeur en 1892, et compte parmi ses élèves Adolphe Beaufrère, Henri Matisse, Albert Marquet et Georges Rouault. Il fait de nombreux voyages en Italie, à Rome, Florence, Milan, Pise, Sienne, Naples, Venise, passe des mois à copier les œuvres du Titien, de Léonard de Vinci et les fresques de Michel-Ange de la Chapelle Sixtine. Il emprunte beaucoups aux maitres de la Renaissance et intégre également des motifs exotiques et orientaux.Grand dessinateur, Moreau possédait à la fin de sa vie de nombreux dessins, photographies, livres illustrés qui ont servi de base à son inspiration picturale.Il lègue à la ville de Paris son atelier, situé dans un hôtel particulier du 14 rue de La Rochefoucauld (IXe), ainsi que l'ensemble des œuvres s'y trouvant (une part non négligeable de son œuvre appartient à des collections privées). Ce legs de près de 850 peintures ou cartons, 350 aquarelles, et plus de 13000 dessins et calques donnera naissance au musée Gustave Moreau qui fut officiellement ouvert au public le 13 janvier 1903.

Tramway des Maréchaux.

Mon premier trajet en Tramway T3
à l'occasion de la foire de Paris
Le T3 en quelques chiffres
Longueur des rames : 44 m
Largeur : 2,65 m
Composition : 7 éléments
Places assises : 78
Capacité totale : 300 personnes
Vitesse commerciale : 20 km/h (moyenne, arrêts inclus)
Modèle :
Citadis d'Alstom
Nombre de rames : 21
Écartement des rails : standard (1435mm)
Un tracé de 7,9 km de long.
17 stations distantes de 465 m environ.
Roule à droite (comme le
métro, mais contrairement au RER)
L'aménagement général des rames mises en service en 2006 est mené par Régine Charvet-Pello. La décoration intérieure est réalisée par le
coloriste Vonnik Hertig et la décoration extérieure par Emmanuel Fédon et Luc Maillet.
Une vitesse commerciale prévue de 20 km/h, après une période transitoire de 18 mois durant laquelle elle passera de 16 km/h à 18 km/h puis 20 km/h. La signalisation routière aux carrefours donne la priorité aux tramways, ce qui favorise leur progression (et est, de plus dissuasif pour les automobilistes, choix qui était clair dès le début du projet)
Une fréquence des rames de 4 minutes aux heures de pointe et de 8 minutes aux heures creuses, du lundi au vendredi. Elle passera à 15 minutes entre 22h00 et la fin du service. Le samedi, l'intervalle entre 2 rames variera de 6 à 9 minutes en journée et de 8 à 10 minutes les dimanches et jours de fêtes.
Un premier départ du
Pont du Garigliano fixé à 4h55, celui de la Porte d'Ivry à 5h30. Le dernier tramway partira du Pont du Garigliano à 0h30 (1h30 les samedis et veilles de fête) et de la Porte d'Ivry à 1h00 (2h00 les samedis et veilles de fête).
Les grandes dates
  • Décembre 2000 : lancement du projet
  • Juillet 2001 : concertation préalable
  • 25 février au 5 avril 2003 : enquête publique
  • Mi-2003 : travaux préalables (déviation des réseaux)
  • Mi-2004: début des travaux
  • Mai 2006 : pose du dernier rail
  • Automne 2006 : fin des aménagements urbains et de stations, essais
  • 16 décembre 2006 : inauguration et mise en service de la ligne du tramway

Foire Paris le 28 avril 2007


Rv avec Norbert à 10:00 pour une balade à la Foire De Paris

La Foire de Paris est une manifestation organisée au parc des expositions de la porte de Versailles, à Paris. Créée en 1904, elle a lieu chaque année entre la dernière semaine d’avril et la première semaine de mai.
La Foire de Paris regroupe les thèmes :
Maison et environnement, Bien-être et Loisirs et cultures du monde, Multimédia etc.....

Belle journée chaude et ensoleillée.

J'ai fait mon premier tour en vélo à assistance électrique.

Visite du salon des inventeurs du Concours lépine
Le Concours Lépine est un concours créé en 1901 par Louis Lépine, il récompensait à l'origine d'un prix de 100 Francs un petit fabricant de jouets ou de quincaillerie innovant. Il était destiné à sortir les petits fabriquants parisiens du marasme économique ambiant.
Le concours récompense aujourd'hui un
inventeur original. On lui doit quelques inventions fort utiles comme : le stylo à bille, le moteur à deux temps, le fer à repasser à vapeur, l'hélice à pas variable, les verres de contact...
Aujourd'hui, le concours est ouvert à tous, à condition que le
brevet soit déposé.
Petites astuces pour augmenter ses probabilités de gagner un
prix : montrer que l'on peut l'utiliser tous les jours avec succès, ou encore que son utilisation aide les personnes à mobilité réduite ou appauvries.
En général, environ la moitié des inventions sont primées.

Diner au Hard Rock Café 27 avril 2007

Pour la venue de Norbert à Parisà l' occasion de la Foire de Paris
Diner au Hard Rock Café

Soirée Papillon le 14 avril 2007

Soirée du 14 avril 2007 à CDKB
Anniversaire de Josselyne





Lolo et Sucette



Dimanche 22 avril
Lolo et Sucette ,
S' installe dans leur bassin de 145 litres à CDKB

Lolo à gauche sur la photo
Sucette à droite sur la photo








lundi 23 avril 2007

Clin d'oeil perso à Fitzy

Loiloilo, loiloilo,
loiloilolo loLoilololololo,
loloiloiloiloLoiloiloilo
Loiloiloilololo, loilololo...
Toute ma vie, j'ai rêvé
D'être une hôtesse de l'air.
Toute ma vie, j'ai rêvé
De voir le bas d'en haut.
Tout ma vie, j'ai rêvé
D'avoir des talons hauts.
Toute ma vie, j'ai rêvé
D'avoir, d'avoir
Les fesses en l'air.
L'avion est détourné.
Détachez vos ceintures.
Libérez vos complexes.
Tenez-vous par l'index.
Surveillez vos réflexes
En attendant l'aventure.
Toute ma vie, j'ai rêvé
D'être une hôtesse de l'air.
Toute ma vie, j'ai rêvé
De n'plus jamais passer
Par les bas et les hauts
De notre petite terre.
Toute ma vie, j'ai rêvé
D'avoir, d'avoirLes fesses en l'air.
L'avion est détourné.
Nous sommes en altitude.
Perdez vos habitudes.
Changez vos attitudes.
Tout 1e monde se dénude.
Fini la servitude.
Toute ma vie, j'ai rêvé
D'être une hôtesse de l'air.
Toute ma vie, j'ai rêvé
D'avoir des talons hauts.
Toute ma vie, j'ai rêvé
De voir le bas d'en haut.
Toute ma vie, j'ai rêvé
D'avoir, d'avoir
Les fesses en l'air.
Fini le pilotage
Mais vive le pelotage.
Fini le décollage
Mais vive le collage.
L'avion est détourné.
On en est tout retourné.
Toute ma vie, j'ai révé
D'être une hôtesse de l'air.
Toute ma vie, j'ai rêvé
D'avoir des talons hauts.
Toute ma vie, j'ai rêvé
De voir le bas d'en haut.
Toute ma vie, j'ai rêvé
D'avoir, d'avoir
Les fesses en l'air.
Loiloilo, loiloilo,
loiloilolo loLoilololololo,
loloiloiloiloLoiloiloilo
Loiloiloilololo, loilololo...


Elysée-Academy









Les deux candidats finalistes à



l' Elysée-Academy 2007


sont:


Nicolas Sarkozy


&


Ségolène Royal

Rendez-vous le 6 mai à 20h00


Pour la Super Finale

RESULTATS DE L'ELECTION PRESIDENTIELLE

DIMANCHE 22 AVRIL 2007France entière (résultats officiels)

Nombre Inscrits
44 472 834


Abstentions
7 218 592
16,23%

Votants
37 254 242
83,77%

Votes Blancs ou Nuls
534 846
1,44%

Exprimés
36 719 396
98,56

Voix
M. Olivier BESANCENOT
1 498 581 Voix
4,08%

Mme Marie-George BUFFET
707 268 Voix
1,93%

M. Gérard SCHIVARDI
123 540
0,34%

M. François BAYROU
6 820 119
18,57

M. José BOVÉ
483 008
1,32

Mme Dominique VOYNET
576 666
1,57

M. Philippe de VILLIERS
818 407
2,23

Mme Ségolène ROYAL
9 500 112
25,87

M. Frédéric NIHOUS
420 645
1,15%

M. Jean-Marie LE PEN
3 834 530
10,44%

Mme Arlette LAGUILLER
487 857
1,33%

M. Nicolas SARKOZY
11 448 663
31,18


dimanche 22 avril 2007

Les Grands travaux







Demi finale de l' Elysée-Academy

*Chiffres à 21H48 le 22/04/07


Les deux finalistes sont:
Nicolas SARKOZY 29,80 % *
&
Ségolène ROYAL 25,60 %*
  • François BAYROU 18,50 %*
  • Jean-Marie LE PEN 11,30 %*
  • Olivier BESANCENOT 4,50 %*
  • Philippe DE VILLIERS 2,50 %*
  • Marie-Georges BUFFET 1,90 %*
  • Frédéric NIHOUS 1,30 %*
  • Dominique VOYNET 1,50 %*
  • Arlette LAGUILLER 1,50 %*
  • José BOVÉ 1,20 %*
  • Gérard SCHIVARDI 0,40 %*

lundi 16 avril 2007

Record de silence

Si le TGV a battu le record de vitesse, je brille par mon absence et mon silence.
En quelques phrases et photos je me dois de faire un récapitulatif rapide et succinct
des deux semaines passées ....
Promis je m'y remets trés vite....

mardi 3 avril 2007

Record du monde de vitesse du TGV 574,8 km/h



Un TGV français de série, amélioré et transformé en véritable laboratoire roulant, a réussi ce mardi 3 avril 2007 à atteindre la vitesse de 574,8 km/h, pulvérisant ainsi son propre record qui était auparavant de 515,3 km/h.

Composée de deux motrices et trois voitures, dont l'une d'entre elles comportait aussi un nouveau bogie moteur, la rame de type duplex s'est élancée à 13h01 sur la ligne à grande vitesse est-européenne, dans le sens province-Paris. A bord du train, bardé de plus de 200 capteurs, avaient pris place plusieurs dizaines de techniciens ainsi que des invités de marque, dont le PDG d'Alstom Patrick Kron, la présidente de la SNCF Anne-Marie Idrac, ainsi qu'Hubert du Mesnil, président de Réseau ferré de France (RFF) et Guillaume Pépy, numéro deux de la SNCF.

Piloté par Eric Pieczac, 46 ans, la rame s'est d'abord stabilisée aux environs de 160 km/heure, le temps d'atteindre la zone où l'alimentation électrique avait été augmentée jusqu'à une tension de 31.000 V, puis la vitesse s'est mise à croître très rapidement. Les 200, 300, puis 400 km/h ont été atteints avec une aisance remarquable, ne laissant transparaître aucune trace d'effort des moteurs, qui avaient pourtant été "gonflés" à 25.000 CV. Après un palier vers 498 km/h provoqué par le franchissement d'une petite côte, le compteur digital s'est à nouveau envolé, et le passage des 515,3 km/heure a été marqué d'une salve d'applaudissements à bord du train, qui devenait ainsi le véhicule sur rails le plus rapide du monde. Alors que le convoi tout entier se mettait à vibrer, ce qui était prévu, la vitesse augmentait toujours jusqu'à atteindre 570 km/heure, puis le compteur grignotait encore un peu de vitesse avant que son conducteur décide de couper l'alimentation.

Les habitants et les nombreux spectateurs massés le long des voies de la petite commune de Le Chemin (ça ne s'invente pas), dans le département de la Marne, voyaient alors passer une espèce de fusée sur rails dans un vacarme apocalyptique, survolé d'un avion chargé des prises de vues. Il était alors 13h14 et le TGV fonçait à 574,8 km/h, record absolu.

La rame, nommée "V150" (pour 150 mètres par seconde), avait subi plusieurs modifications par rapport aux trains circulant actuellement sur le réseau européen, mais restait strictement de série. La voiture-bar centrale était équipée d'un bogie central moteur qui équipera bientôt certaines nouvelles voitures de la ligne est-européenne. Les roues avaient été très légèrement agrandies pour éviter la mise en surrégime des moteurs, et un soin tout particulier avait été apporté à leur fabrication.

Côté caténaires, la tension des câbles de transmission du courant avait été portée à 4 tonnes afin de les rendre aussi rigides que possible et ainsi réduire l'amplitude de l'onde qui accompagne le passage du train à grande vitesse, ce qui a pour effet d'entraîner des coupures d'alimentation. L'inclinaison de la voie avait été augmentée dans les courbes, et ces modifications, qui resteront en place, autoriseront désormais les rames commerciales à rouler à 320 km/h au lieu des 300 km/h habituels sur cette ligne.

Vidéo Rame V150 trouvée sur le net


Record TGV High Speed SNCF en Live
envoyé par supersaiyan