mercredi 31 décembre 2008
Noël 2008
mercredi 17 décembre 2008
dimanche 14 décembre 2008
samedi 13 décembre 2008
lundi 8 décembre 2008
dimanche 30 novembre 2008
mercredi 19 novembre 2008
la goélette polaire Tara est visible au port des Champs Elysées
Frimousses de créateurs avec l’Unicef au Petit Palais
Les fonds récoltés à l’issue de la vente sont intégralement reversés à l’Unicef pour financer ses programmes de vaccination.
En 2007, l’opération a permis d’envoyer 220 000 euros au Darfour pour aider 250 centres de santé dans la vaccination des enfants de moins de 5 ans contre les 6 maladies les plus meurtrières et invalidantes de l’enfance : tuberculose, rougeole, polio, diphtérie, coqueluche et tétanos.
Depuis le début de l’opération, 31 000 enfants ont été vaccinés grâce aux fonds récoltés.
De nouveau, cette année, les Frimousses de créateurs s’exposeront du 18 au 23 novembre 2008 au Petit Palais, Musée des Beaux-Arts de la ville de Paris. Les poupées seront ensuite vendues aux enchères à Drouot , pour certaines sur internet pour la première fois cette année et pour d’autres, le 27 novembre 2008 à Drouot Montaigne
Shôkokuji, zen et art au Petit Palais
Les traditions cultuelles sont représentées par d’imposantes peintures de divinités et figures sacrées datant des XIVe et XVe siècles, accompagnées d’objets rituels d’une grande force esthétique. Essentielle à la culture zen, la peinture à l’encre sera présente grâce à des chefs-d’oeuvre des maîtres du XVe et du XVIe siècle : Shûbun (XVe), Sesshû Tôyô (XVe) , Kanô Motonobu (XVe-XVIe). Apparaîtront ainsi les liens étroits entretenus par les moines zen avec la culture savante de leur temps, les poésies et la littérature chinoise notamment. L’évolution de la cérémonie du thé sera évoquée par de magnifiques objets ayant appartenu au 8e shôgun Ashikaga Yoshimasa (1436-1490), grand amateur d’art et commanditaire du Pavillon d’Argent, Gingakuji. En complément figureront des oeuvres liées aux deux très célèbres maîtres du thé du XVIe et XVIIe siècle : Sen no Rikyû et Genpaku Sôtan. En explosion picturale finale, des peintures des maîtres du XVIIIe siècle - Itô Jakuchû, Maruyama Ôkyô, Ike no Taïga - ouvriront aux mondes du paysage, des fleurs et des animaux réels ou fantastiques.
Emil Nolde au Grand Palais
Emil Nolde, de son vrai nom Emil Hansen, né en 1867 à Nolde au Schleswig-Holstein à la frontière germano-danoise et décédé en 1956, est un peintre allemand.
Fils de paysan, il a d'abord pratiqué la sculpture ornementale avant de s'intéresser à la peinture. Il apprend le dessin à Karlsruhe, puis à Saint-Gall en Suisse où il enseigne cette matière jusqu'en 1897. Il part alors compléter sa formation à Munich, à Dachau, puis à Paris, en 1899, où il est confronté aux peintures classiques du Louvre et où il fréquente l'Académie Julian en 1899. Il se partage ensuite entre Copenhague et Berlin et séjourne souvent dans l'île d'Alsen. Il ne découvre les tableaux de Vincent van Gogh et de Paul Gauguin au cours d'expositions à Berlin et à Weimar, œuvres qui vont l'influencer profondément par la suite.
Il commence à exposer dès 1906 et notamment à Dresde où sa peinture à thématique campagnarde, avec un traitement des couleurs vives en pâte épaisse, enthousiasme les artistes du groupe Die Brücke (traduit par le pont). Emil Nolde s'y inscrit à partir de 1906 sur une invitation de Karl Schmidt-Rottluff. Il s'agit d'un mouvement d'expressionnisme où les couleurs sont présentées de manière brute voire brutale et vive, avec un dessin rapidement exécuté, à vif.La thématique de son œuvre est alors exclusivement florale et Nolde quitte le groupe fin 1907 pour des raisons de divergence d'opinion tout en conservant des liens d'amitié avec certains de ces membres.
A partir de 1905, il s'installe à Berlin, d'abord quelques mois par an, en hiver. La vie urbaine et nocturne lui inspire de nombreux tableaux. Il y rencontre en 1907 le peintre Edvard Munch. Sa notoriété grandit et il s'inscrit à la Sécession berlinoise. Nolde est assez mal à l'aise dans ce milieu : ses toiles sont, de plus, régulièrement refusées par les expositions de ce groupe. Avec d'autres artistes (dont ceux de Die Brücke), il crée alors en réaction la nouvelle Sécession, dont la première exposition a lieu en 1910. Il est alors exclu de la Sécession. Les thèmes de ses tableaux évoluent, il aborde des sujets religieux, employant la même technique de couleurs pures en aplats. Il peint notamment un retable en neuf parties en 1911-1912 sur la vie du Christ. Il peint également de nombreuses marines dont certaines sont à la limite de l'abstraction. Il se passionne pour l'art primitif : en 1913 il séjourne plusieurs mois dans des îles du Pacifique où il peint de nombreux croquis et aquarelles. Il en reprend les thèmes dans plusieurs tableaux faits à son retour en Europe.Il arrive que Nolde détruise certaines de ses toiles quand elles ne lui plaisent pas.
Il se retire au début de la première guerre mondiale dans un village près de son lieu de naissance, puis à Seebüll où il finira ses jours en 1956. Il retourne alors vers la peinture florale de sa jeunesse.
En 1935, il adhère au parti nazi dans l'espoir d'être accepté par le régime. Il est défendu dans un premier temps par Goebbels, amateur d'expressionisme et certaines de ses aquarelles décorent même son appartement[1]. Une salle lui est consacrée à la galerie nationale de Berlin. Cependant son art est critiqué par Alfred Rosenberg qui a les faveurs d'Hitler en matière culturelle : le 23 août 1941 Adolf Ziegler lui enjoint de cesser de peindre, ce qu'il refuse de faire[2]. Nolde est alors expulsé de l'Académie des arts. Au cours de la campagne contre l' "art dégénéré",un grand nombre de ses œuvres (1052 exactement) exposées dans les musées allemands sont confisquées et certaines sont détruites sur ordre des nazis.
Il se retire alors à Seebüll et peint de très nombreuses aquarelles qu'il appelle ses « tableaux non-peints », en référence avec son interdiction d'exercer son art. Après la guerre, il reprend les grands formats et la peinture à huile, puisant comme modèles nombres de ses aquarelles des périodes troubles.
La partie la plus connue de son œuvre reste ses tableaux de style expressionniste. Ses thématiques sont variées, allant du religieux aux paysages. Quelques thèmes sont plus développés, comme la danse ou les masques.
Nolde a également beaucoup manié l'aquarelle où il mêle de l'encre ou de la craie. Il utilise particulièrement ces techniques durant la Seconde Guerre Mondiale où il peint plus de 1300 œuvres avec ces dernières, du fait de l'interdiction qui lui a été signifié de réaliser des tableaux[
Le peintre a eu une activité importante de gravure dont la lithographie. Ses premiers essais remontent à 1907. A partir de 1913, il peint directement sur la pierre, aboutissant aux œuvres les plus achevées. Il s'adonne également à l'eau-forte et à la gravure sur bois. Il n' a cependant guère poursuivi son œuvre gravée au-delà de 1926, même s'il existe une série de six planches datant de 1937.
dimanche 16 novembre 2008
Bon et Heureux Anniversaire Nadine
dimanche 9 novembre 2008
mercredi 5 novembre 2008
Barack OBAMA Président élu des Etas-unis d' Amérique
La victoire d'Obama illustre les progrès d'un pays marqué par le racisme
La victoire à l'élection présidentielle américaine mardi de Barack Obama, né il y a 47 ans d'un père kényan, illustre le chemin parcouru par les Noirs dans un pays toujours agité par le démon du racisme.
Evénement
En devenant le 44e président des Etats-Unis, le sénateur de l'Illinois entre dans l'Histoire et fait mentir les pessimistes qui avaient estimé pendant toute sa campagne que l'Amérique n'était pas prête à élire un Noir.
Son élection va non seulement rapprocher les Afro-Américains des autres communautés mais aussi les Etats-Unis du rêve de Martin Luther King, ébauché il y a 45 ans, de l'égalité entre les races.
Barack Obama, grand admirateur d'Abraham Lincoln, artisan de l'abolition de l'esclavage, deviendra le 20 janvier 2009 le président d'un pays où le souvenir de la ségrégation et de la lutte des Noirs pour leur émancipation dans les années 1960, reste vif.
Son mandat de quatre ans, renouvelable une fois, sera scruté avec grande attention pour voir s'il en fera bénéficier la communauté noire, notamment les plus pauvres, et s'il saura refermer des plaies raciales encore grande ouvertes.
"Je suis vraiment reconnaissant d'être encore là pour vivre ce moment incroyablement historique pour notre pays", a commenté le parlementaire John Lewis, ancien dirigeant de la lutte pour les droits civiques.
"C'est difficile à croire qu'on ait réussi à faire autant de progrès en si peu de temps, que l'on puisse voir un jeune Afro-Américain devenir président des Etats-Unis", a ajouté à la télévision M. Lewis, qui fut roué de coups par un groupe de Blancs dans l'Alabama en 1961.
Selon lui, les Etats-Unis sont "prêts à créer une société démocratique vraiment multi-raciale".
L'ancien candidat à la présidentielle Jesse Jackson se trouvait au milieu de la foule de partisans d'Obama rassemblés à Chicago pour la fête de la victoire.
Cet ancien dirigeant de la lutte pour l'émancipation des Noirs a écouté le discours d'Obama, les yeux pleins de larmes. "Je ne savais pas quand, mais j'ai toujours pensé que c'était possible", a déclaré à l'AFP celui qui se trouvait aux côtés de Martin Luther King quand il fut assassiné.
Même l'adversaire d'Obama, le républicain John McCain a évoqué l'importance de la race du futur président en reconnaissant sa défaite.
"C'est une élection historique. Je reconnais qu'elle a une signification particulière pour les Afro-Américains", a indiqué l'ancien combattant du Vietnam.
"Même si nous avons surmonté une bonne partie des vieilles injustices qui ont terni l'image de notre pays en refusant à une partie des Américains la pleine jouissance de la citoyenneté américaine, le souvenir de ces moments avait encore le pouvoir de blesser", a admis M. McCain.
"Aujourd'hui, il faut qu'il n'y ait plus aucune raison pour qu'un Américain ne puisse pas chérir son appartenance à ce pays, la plus grande nation du monde", a ajouté M. McCain.
Bon nombre d'analystes avaient pronostiqué des difficultés à Obama en raison de l'ostracisme touchant encore les Noirs américains.
Barack Obama l'a cependant emporté dans des Etats ouvriers et majoritairement blancs comme la Pennsylvanie et l'Ohio où il avait été battu pendant les primaires démocrates par la sénatrice de New York, Hillary Clinton.
Tout au long de sa campagne, Barack Obama s'est gardé de se présenter comme le "candidat noir" et a toujours estimé que s'il devait perdre ce ne serait pas à cause de sa race.Ce fils d'une Américaine originaire du Kansas qui a grandi à Hawaii et en Indonésie, a su adopter un discours décomplexé, insistant systématiquement sur l'unité nécessaire du peuple américain.
C'est sans doute le secret de sa victoire.
mardi 4 novembre 2008
Elections américaines
1
George Washington
1789-1797
2
John Adams
1797-1801
3
Thomas Jefferson
1801-1809
4
James Madison
1809-1817
5
James Monroe
1817-1825
6
John Quincy Adams
1825-1829
7
Andrew Jackson
1829-1837
8
Martin Van Buren
1837-1841
9
William Henry Harrison
1841-1841
10
John Tyler
1841-1845
11
James Polk
1845-1849
12
Zachary Taylor
1849-1850
13
Millard Fillmore
1850-1853
14
Franklin Pierce
1853-1857
15
James Buchanan
1857-1861
16
Abraham Lincoln
1861-1865
17
Andrew Johnson
1865-1869
18
Ulysses S. Grant
1869-1877
19
Rutherford B. Hayes
1877-1881
20
James A. Garfield
1881-1881
21
Chester A. Arthur
1881-1885
22
Grover Cleveland
1885-1889
23
Benjamin Harrison
1889-1893
24
Grover Cleveland
1893-1897
25
William McKinley
1897-1901
26
Theodore Roosevelt
1901-1909
27
William H. Taft
1909-1913
28
Woodrow Wilson
1913-1921
29
Warren Harding
1921-1923
30
Calvin Coolidge
1923-1929
31
Herbert Hoover
1929-1933
32
Franklin D. Roosevelt
1933-1945
33
Harry S Truman
1945-1953
34
Dwight D. Eisenhower
1953-1961
35
John F. Kennedy
1961-1963
36
Lyndon B. Johnson
1963-1969
37
Richard M. Nixon
1969-1974
38
Gerald R. Ford
1974-1977
39
Jimmy Carter
1977-1981
40
Ronald W. Reagan
1981-1989
41
George Bush
1989-1993
42
William J. Clinton
1993-2001
43
George W. Bush
2001-2008
jeudi 30 octobre 2008
Obséques de Monsieur Daniel CHEVALIER
dimanche 26 octobre 2008
Bon et Heureux Anniversaire Didier
samedi 25 octobre 2008
Drôle d' anniversaire
*L'orchiectomie ou orchidectomie est l'amputation chirurgicale d'un ou des deux testicules.
Cette ablation peut être médicalement requise à des fins thérapeutiques.
mardi 21 octobre 2008
lundi 20 octobre 2008
Soeur Emmanuelle allait avoir 100 ans
Soeur Emmanuelle, de son vrai nom Madeleine Cinquin, s'est éteinte "dans son sommeil" dans la nuit de dimanche à lundi à l'âge de 99 ans dans la maison de retraite de Callian (Var) où elle vivait depuis 1993, a indiqué à l'AFP une responsable de l'association.
"Fatiguée", mais ne souffrant "d'aucune maladie particulière" selon la même source, Soeur Emmanuelle, connue pour son franc-parler, sa silhouette humble et son visage malicieux qui hantaient les plateaux de télévision et les bureaux des puissants, allait célébrer son centième anniversaire le 16 novembre.
"Conformément à sa volonté, ses obsèques auront lieu dans la plus stricte intimité. Une messe à sa mémoire sera célébrée prochainement à Paris", selon le communiqué d'Asmae-Association Soeur Emmanuelle.
Soeur Emmanuelle, qui avait partagé pendant plus de 20 ans la vie des chiffonniers du Caire, a mené une lutte acharnée contre la pauvreté avec une vitalité qui lui a valu une popularité durable.
Mais à 23 ans, le 10 mai 1931, la jeune bourgeoise, de mère chrétienne et de père juif, avait renoncé à une vie confortable et prononcé ses voeux de religieuse dans la congrégation Notre-Dame de Sion, privilégiant les liens avec l'enseignement et le judaïsme.
Sous le nom d'Emmanuelle (Dieu est avec nous), elle avait enseigné en Turquie, puis en Tunisie avant de partir pour l'Egypte. Dans ce dernier pays pour lequel elle a un véritable coup de foudre, à 62 ans, elle obtient enfin le feu vert de sa congrégation pour vivre parmi les plus pauvres, les chiffonniers du Caire.
Rappelée par sa congrégation en 1993, à l'âge de 85 ans, alors qu'elle souhaitait finir sa vie en Egypte, Soeur Emmanuelle a passé ses dernières années dans le Var.
Elle se déplaçait désormais en fauteuil roulant mais avait continué à donner de la voix pour défendre l'aide aux pays pauvres, les SDF et les jeunes générations.
"Durant toute sa vie, elle a puisé son inlassable énergie dans sa foi en Dieu et comme elle l'affirmait aussi, dans sa foi en l'Homme", commente son association.
"Jusqu'au bout et malgré son âge, Soeur Emmanuelle est demeurée un souffle vivant pour tous ceux qui poursuivent et développent ses actions", poursuit-elle.
"Sa disparition laisse un vide immense dans nos coeurs", assure Asmae, "mais la force de son message continuera de nous aider à être fidèle à sa devise: +Vivre c'est agir, Yalla!+".
Dans un dernier livre d'entretiens intitulé "J'ai cent ans et je voudrais vous dire" (avec Jacques Duquesne et Annabelle Cayrol, éditions Plon) et publié en août 2008, la religieuse parlait de la mort sans tabou. A la fin de l'ouvrage, dans un petit texte de sa main elle affirmait : "j'ai eu une vie heureuse, celle que je voulais".
"Je suis en paix, j'attends paisiblement la mort, sans m'ennuyer", ajoutait-elle, exprimant pourtant "un regret, une souffrance: tous les drames du monde".
"Sans partage, sans solidarité, on ne peut faire progresser l'humanité", insistait Soeur Emmanuelle. "Il faut donc s'acharner".
dimanche 19 octobre 2008
Déjeuner MLKF
samedi 18 octobre 2008
Ingres au Musée de la vie romantique
Les dessins d'Ingres à la Vie romantique
Du 16 septembre au 4 janvier au musée de la Vie romantique (9e), une promenade unique dans les coulisses de la création du meilleur dessinateur de son temps, Jean-Auguste-Dominique Ingres (1780-1867): l'expo réunit une centaine de dessins préparatoires, choisis par Catherine Lépront dans les réserves du musée Ingres à Montauban.
Romancière, nouvelliste, essayiste, dramaturge, auteur d’une trentaine d’ouvrages, Catherine Lépront a tracé ici un cheminement très personnel, guidée par une fascination pour la gestuelle particulière du peintre, son goût pour les extravagances en exprimant sa profonde admiration en particulier pour les études du Martyre de saint Symphorien (Autun, cathédrale Saint-Lazare, 1824).«Des premières idées aux ultimes décisions, des compositions d’ensemble aux infimes détails inlassablement repris, il y a là toutes les étapes du processus de création d’une oeuvre, explique Madame Lépront. Mais aussi les traces que laisse Ingres du cheminement de sa pensée, de ses errances, de ses indécisions, devant les innombrables virtualités qu’offre la surface à peindre. Plus l’idée se précise plus le dessin est épuré. Le corps semble perdre de sa matière, littéralement se désincarner pour qu’il n’en subsiste que son contour essentiel, sa forme stricte. Comme si Ingres avait procédé par gommages successifs de données superflues.»
Dans ses élongations ou ses disproportions, le peintre reflète l’inquiétude et la folie tourmentée des Romantiques. Ingres en effet, n’hésite pas à bousculer les lois de l’anatomie comme les règles de la perspective, pour parvenir à une liberté et une modernité intemporelle.
«Enfance, maturité, vieillesse, ce sont tous les âges de la vie qui sont représentés, conclut Catherine Lépront. Mais également toutes les émotions, les humeurs du romantisme et c’est bien d’une rêverie sur l’humanité qu’il s’agit, en même temps que d’une rêverie sur l’art – antique, classique et déjà moderne.»
Sincéres condoléances
Picasso et ses maitres
Annoncée comme l’évènement de l’année, l’exposition "Picasso et les maîtres" a ouvert ses portes au public dans les galeries nationales du Grand Palais à Paris mais aussi au Musée du Louvre autour des "Femmes d’Alger" de Delacroix et au Musée d’Orsay autour des variations du "Déjeuner sur l’herbe" de Manet.
210 oeuvres réalisées du XVIè siècle à 1971, sont réunies au Grand-Palais, et retracent pour la toute première fois, les liens complexes, passionnels, fusionnels mais aussi distanciés, que Pablo Picasso a entretenus avec les grand maîtres de la peinture occidentale.
Des chefs-d’oeuvres du MoMA, Museum of Modern Art de New York, du Prado de Madrid, mais aussi de la National Gallery de Londres ou de la Gemälde Galerie de Berlin ont quitté leurs cimaises pour l’occasion.
Un dialogue permanent. L’exposition Picasso et les maîtres au Grand Palais illustre le dialogue permanent que Picasso (1881-1973) a entretenu avec toute la grande tradition de la peinture occidentale : depuis sa première grande composition à sujet allégorique, Derniers Moments (1896), jusqu’aux dernières toiles d’après Vélasquez, Titien et Rembrandt, où règnent sous les masques de mousquetaires, musiciens et matadors, le motif récurrent de l’autoportrait. La période des « variations » d’après Delacroix, Vélasquez ou Manet (1950-1962), forme l’épisode le plus connu et le plus aisément lisible de ce dialogue qui anima toute l’œuvre du peintre espagnol.
Une collection de chefs-d’œuvre rarement réunis. L’exposition présente dans un parcours croisant approches thématique et chronologique, les toiles de Picasso confrontées à celles des grands peintres qui l’ont inspiré : Le Greco, Vélasquez, Goya, Zurbarán, Ribera, Melendez, Poussin, Le Nain, Dubois, Chardin, David, Ingres, Delacroix, Manet, Courbet, Lautrec, Degas, Puvis de Chavannes, Cézanne, Renoir, Gauguin, Douanier Rousseau, Titien, Cranach, Rembrandt, Van Gogh… Au total, ce sont 210 œuvres y ont été rassemblées, issues des collections les plus prestigieuses, publiques et privées, nationales et internationales.
Trois lieux pour un seul homme. Pour la première le Grand Palais, le musée du Louvre et le musée d'Orsay s'associent pour confronter Picasso à ceux qui l'ont inspiré. En parallèle de la grande exposition Picasso et les maîtres qui se tient aux Galeries nationales du Grand Palais, le musée du Louvre présente une vingtaine des variations picturales et graphiques réalisées par Picasso en 1954-1955 d’après le chef-d’oeuvre de Delacroix, Femmes d’Alger dans leur appartement (1834). De son côté, le musée d’Orsay propose les variations d’après le Déjeuner sur l’herbe de Manet.
Un génie à bonne école. Pablo Picasso (1881-1973) se forme très tôt aux règles de la grande tradition auprès de son père, José Ruiz-Blasco, professeur à l’Ecole des Beaux Arts et directeur du musée de Málaga, comme durant son cursus à l’Ecole des Beaux-Arts de la Corùna, à la Lonja (Barcelone), puis à l’Académie San Fernando (Madrid). Dessins d’après l’Antique, statuaire et architectonique, copies de toiles des grands maîtres espagnols, étude de l’histoire de l’art européen ont formé le quotidien de son apprentissage.
dimanche 12 octobre 2008
Claire Jérome Joël en week end à Paris
jeudi 9 octobre 2008
Les Mots de Sénéque
mercredi 8 octobre 2008
Bon et Heureux Anniversaire
mardi 7 octobre 2008
jeudi 2 octobre 2008
Le Louvre expo Mantegna
Mantegna
Riche d’un ensemble remarquable de tableaux de Mantegna, de loin le plus important hors d’Italie, que viendront compléter des prêts exceptionnels, le musée du Louvre consacre, pour la première fois en France, une rétrospective majeure à cette figure éminente de la Renaissance en Italie du nord.
L’exposition s’attache à montrer, à travers des œuvres de techniques très diverses, les étapes principales de la carrière de cet artiste, menée entre Padoue, Vérone et Mantoue durant la seconde moitié du XVème siècle, son influence sur ses contemporains et la diffusion précoce de son art dans toute l’Europe.
La passion du détail
Pour apprécier l'œuvre de Mantegna, il faut s'approcher, dépasser le trop-plein de sens, les multiples énigmes iconographiques destinées aux seuls exégètes baignant dans la culture humaniste de l'époque, comme dans ces toiles sur le thème des Vices et des Vertus, destinées au studiolo d'Isabelle d'Este à Mantoue (reconstitué dans l'exposition), où apparaissent des femmes-troncs et des angelots à tête de chouette.
Si les grands ensembles ne sont pas visibles (notamment les Triomphes de César, conservés au palais de Hampton Court, en Angleterre, depuis près de cinq siècles, ou les fresques de La Chambre des Époux à Mantoue, dont on n'a ici que de succinctes évocations), on peut découvrir d'abord ces détails étranges, peints avec une dextérité de miniaturiste : les rochers sinisants des paysages aux couleurs acidulées de l'apocalyptique Jardin des Oliviers ; les délires anatomiques d'un Combat de dieux marins proche de la BD de science-fiction ; la peau comme un cuir craquelé des portraits, notamment ceux, étonnamment vivants, des soudards romains, coupés à mi-corps dans le monumental et statufié Saint Sébastien du Louvre ; ou encore la bucolique et surréaliste tonnelle gorgée de fruits sous laquelle est rassemblée une « sainte conversation » dans la Madone de la Victoire.
De la passion du détail découle la vérité du sentiment. L'art de Mantegna, au premier abord sec, s'est humanisé au contact de son beau-frère Giovanni Bellini, comme en témoignent des Vierges à l'Enfant d'une grande tendresse, ou la complexité du regard du Christ dans le Ecce Homo du musée Jacquemart-André, tenaillé entre désespoir et fatalité. Loin des effusions démonstratives de la peinture baroque, les œuvres d'Andrea Mantegna gardent la sobriété du sentiment vrai. Et la contemplation de quelques quatre-vingts de ses œuvres rassemblées au Louvre restera pour le spectateur une expérience unique.
lundi 29 septembre 2008
Week end en compagnie de Joel
Nous avons profité du temps clémant pour faire de grandes balades dans Paris .
Dimanche soir diner en compagnie de Michel et Joel au Bistro des deux théatres.
Joel est reparti lundi soufrant d'un gros rhume ou d'un début de grippe.
mercredi 17 septembre 2008
Le retour
Je ne suis pas réparé, juste un peu soulagé .
Il ne me faut perdre l'espoir de me sortir de ce trou dans lequel je suis tombé.
mercredi 27 août 2008
Visites dans Paris en compagnie de Joel
Mardi 26 Musée des arts décoratifs
Mercredi 27 Jeu de Paume Expo Photos
Jeudi 28 Musée Carnavalet
Proverbe
Vit aujourd'hui comme si c'était ton dernier jour
vendredi 22 août 2008
mercredi 20 août 2008
Prompt rétablissement
vendredi 25 juillet 2008
R A S
lundi 21 juillet 2008
Tiramisu aux Speculoos
Préparation : 25 min
Cuisson : 0
Ingrédients (pour 6 personnes) :
- 250 g de mascarpone
- 80 g de sucre roux
- 1 sachet de sucre vanillé
- 3 gros oeufs
- 300 g de speculoos
- 2-3 tasses de café noir assez fort
- 1 cuillère à soupe d'amaretto
- 30 g de cacao en poudre non sucré
Préparation :Faire un ruban avec les jaunes d'oeufs, le sucre et le sucre vanillé.
Y ajouter le mascarpone.
Battre les blancs en neige, les incorporer délicatement au mélange.
Ajouter l'amaretto au café noir.
Monter le gâteau:
tremper, au fur et à mesure, les speculoos dans le café (attention à ne pas les "détremper").
Dans un plat, mettre une couche de biscuits, ensuite une couche de crème au mascarpone. Ensuite une autre couche de biscuits, et terminer par une couche de crème.
Saupoudrer de cacao, couvrir d'un film plastique et mettre au réfrigérateur quelques heures.